RADARBANDUNG.ID, SUBANG- La police de Jalancagak, avec le Koramil 0513/Jalancagak, le Satpol PP et le bureau de l’éducation UPTD, mène une patrouille intégrée pour soutenir l’application du couvre-feu pour les étudiants après 21h00 WIB, dimanche soir (1/6/2025).

Cette initiative fait suite à la circulaire du gouverneur de Java occidental concernant la restriction des activités nocturnes, y compris à Subang.

Le chef de la police de Jalancagak, le commissaire Dede Suherman, a révélé que cette opération conjointe implique des personnels de l’armée (Koramil), de la police (police de Jalancagak), du Satpol PP et de l’agence éducative de Subang.

« Dans cette opération, nous menons des actions conjointes impliquant l’armée, la police, le Satpol PP et les services de l’éducation », a expliqué le commissaire Dede, lundi (2/6/2025).

Selon lui, les patrouilles ciblent les lieux de rassemblement comme les places publiques, les cafés et autres espaces publics, afin de sensibiliser directement les étudiants à ne pas sortir après 21h00 WIB.

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« Nous intervenons dans ces endroits », a-t-il déclaré.

Il a également souligné que cette activité s’inscrit dans le programme GANAS SULTAN (Subang Sud Proactif, Confortable, Sûr et Synergique) visant à créer un environnement sécurisé, anticipatif et humain, notamment pour les jeunes.

L’objectif est de prévenir la délinquance juvénile, pouvant mener à des troubles sociaux ou des actes criminels comme les gangs de motards, les bagarres ou les courses illégales.

« Cette opération vise à prévenir les actes criminels tels que les courses illégales, les rixes et les gangs de motards », a-t-il conclu. (anr)

Après la démolition de leur échoppe, les vendeurs d'ananas à Subang optent pour un nouvel emplacement

RADARBANDUNG.ID, SUBANG- Trois jours après la démolition de leur échoppe, plusieurs commerçants de Subang ont repris leur activité différemment.

L’un d’eux est visible le long de la route principale de Subang.

Un vendeur, Ayi (50 ans), a expliqué qu’il continue à vendre en bordure de route par nécessité financière.

« Je dois tenir, malgré les difficultés. Mon enfant est encore au lycée et l’aîné à l’université. Si je ne vends pas, comment financer leurs études ? », a-t-il confié, lundi (2/6/2025).

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Il a admis n’avoir rouvert que depuis trois jours, avec des bénéfices minimes comparés à son ancienne échoppe.

« Avant, je vendais 7 quintaux par jour. Maintenant, même 1 quintal n’est pas écoulé en trois jours. Mais je n’ai pas le choix », a ajouté Ayi.

« Je comprends la réglementation. J’espère que le gouvernement me proposera un meilleur emplacement », a-t-il conclu.

Des observations montrent que d’autres vendeurs ont également repris leur activité sur le bord de la route après les démolitions.

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« Je dépends de la vente pour survivre. Si je ne vends pas, comment nourrir ma famille ? », a expliqué Ade, un autre commerçant. (anr)