MANILLE – La Commission des droits de l’homme (CHR) a déclaré mardi que la Loi sur la liberté d’information (FOI) a contribué à « promouvoir un gouvernement ouvert et participatif ».

La recommandation adressée à la nouvelle administration de conserver la politique FOI a été bien accueillie.

Lors d’une interview, il a été indiqué qu’un groupe d’agences avait déjà préparé son rapport de transition à l’intention des nouveaux responsables, en vue de sa validation. Parmi les initiatives qu’ils souhaitent voir poursuivies par la prochaine administration figure le programme FOI, qui sert de mécanisme de transparence pour le pouvoir exécutif.

En citant l’article III, section 7 de la Constitution philippine, celui-ci permet aux citoyens d’accéder « aux documents officiels, aux actes, transactions ou décisions administratives, ainsi qu’aux données de recherche gouvernementales utilisées pour élaborer des politiques » sur tous les sujets d’intérêt public.

Malgré cette garantie constitutionnelle existante, il a été souligné